Une fois les billets en poche, c’est l’heure du départ vers 5h du mat pour Beauvais où les vols sont moins chers (toujours en mode étudiants). Au passage je ramasse à Chartres les deux Mat(t)hieu et on décolle sans encombre, après avoir dit au revoir au daron et à la soeurette, vers 10h pour Bucharesti.
Ca y est je suis roumain. Maintenant on me surnomme « Miclikescu ».
Une fois débarquée méga Calor, tro tro chaud ! En plus je mettais sapé avec un pull, et veste et une doudoune ! Et là début de quelques galères :
Trouver un taxi pas trop suspect, pas trop cher et qui parle un minimum anglais. Dommage pour nous ! Il nous a pris 80 lei au lieu de 50 annoncé (c pas la mort, tarif classik env. 30lei) mais le pire c’est qu’il ns a amené à la mauvaise Université, en plein centre ville. On a mis 4h à errer ds la ville pour trouver polithnica. Tant pis on vu du pays et première impression bizarre. C’est un contraste de beau et de moche. D’un coté les vieux et grands bâtiments et de l’autre la reconstruction d’un nouveau Bucarest. Mais bon ça à l’air bien.
Le premier truc qui choque c’est le trafic ! Ils roulent tous comme des décalcos. 120 en villes, pas de ceintures, pas de clignotants, klaxonne à bal, feu rouge quand ils veulent et surtout l’hymne national de
Heureusement on tombe sur un étudiant roumain trop sympa, il nous emmène jusqu’à nôtre résidence P19 (que les Erasmus) et ils nous gèrent les chambres avec le concierge qui parle que roumain (on prend son n° pour une prochaine fois). Et là pas de piaules réserver pour nous, tant pi on dormira à trois dans une chambre de 2 parce que certains « con »patriotes voulaient pas nous accueillir. Après une bonne journée de marche on ne va pas se plaindre !
Une fois le pb des chambres réglé pour ns, on accueil la 2éme fournée de Nantes le lendemain soir vers minuit. Pas de chambre pour eux non plus donc mode roumain activé : 5 ds une chambre.
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