dimanche 30 septembre 2007

Le club Maxx

Pour notre first soirée by night on décide d’aller trop loin : le Club Maxx, juste en bas de notre bâtiment. Après avoir lâché 15lei à 4 molosses chargés de stéroïdes, le bruit (techno à bal) nous pétent les tympans mais on l’oublie vite quand voit l’intérieur. Salle blindée mais surtout only beautiful girls avec 7 ou 8 stripteaseuses tous mortels. Première fois que je saigne du nez de cette manière ! C’est d’ailleurs la seule chose bien ds cette boite, sinon c’est trop bourge (20lei un verre) et la « zik » (remix de tout en techno, genre Umbrella en techk).
Le dimanche on décide de faire les touristes, petite balade dans Bucarest pour voir la ville et la culture roumaine. On tombe sur le palais de Ceausescus ; il est énorme (2ème plus gd du monde) à voir. Demain on passe aux choses « sérieuses », les cours.

samedi 29 septembre 2007

1ère Impression

On finit de gérer les papiers pour les inscriptions (apparemment à notre arrivé on été inconnu au bataillon) et on traîne un peu. Le campus est mortel sous un soleil de plomb. Plein de bars/restos avec des terrasses, des étudiants partout, club à 10m, minimarket à gogo pour se ravitailler, tout est réunit pour une parfaite intégration. On est dépaysé entre des blocks de 30piges, voitures récentes, chiens errants, bâtiments neufs, petits gamins qui font la manche devant l’université. On voit que la ville est en plein boom et les disparités riches et pauvres sont énormes. Une petite anecdote roumaine qui nous a trop fait rigolé. Pour vider les poubelles publics, facile pour eux : ils mettent tous parterre et foutent le feu (pas cher les camions poubelles).

Nous on en profite, petites bières (1 demi L) sur la terrasse pour 3lei même pas 1€. Pizza et shaorma pour le double, terrible. D’ailleurs on hallucine quand on voit les roumains grailler à n’importe quelle heure de la journée, conséquence on fait comme eux toujours au resto.

Paragraphe spécial pour les roumaines :

Elles sont tous mortels ( y a une sélection à la naissance je pense)

vendredi 28 septembre 2007

Buna Bucaresti

Au fur et à mesures qu’on se rapproche du 26 septembre 2007, il faut finioler les détails pour le voyage (passeport, assurances, carte ISIC, inscription à Angers, forfait téléphone etc.…). Il me reste plus qu’à préparer une valise de 25kg et c’est grave pas beaucoup. Je passe une dernière fois dire au revoir au collègues lucéens (ouai je vais plus voir leurs bèches !!!) et je suis O.P.

Une fois les billets en poche, c’est l’heure du départ vers 5h du mat pour Beauvais où les vols sont moins chers (toujours en mode étudiants). Au passage je ramasse à Chartres les deux Mat(t)hieu et on décolle sans encombre, après avoir dit au revoir au daron et à la soeurette, vers 10h pour Bucharesti.

Ca y est je suis roumain. Maintenant on me surnomme « Miclikescu ».

Une fois débarquée méga Calor, tro tro chaud ! En plus je mettais sapé avec un pull, et veste et une doudoune ! Et là début de quelques galères :

Trouver un taxi pas trop suspect, pas trop cher et qui parle un minimum anglais. Dommage pour nous ! Il nous a pris 80 lei au lieu de 50 annoncé (c pas la mort, tarif classik env. 30lei) mais le pire c’est qu’il ns a amené à la mauvaise Université, en plein centre ville. On a mis 4h à errer ds la ville pour trouver polithnica. Tant pis on vu du pays et première impression bizarre. C’est un contraste de beau et de moche. D’un coté les vieux et grands bâtiments et de l’autre la reconstruction d’un nouveau Bucarest. Mais bon ça à l’air bien.

Le premier truc qui choque c’est le trafic ! Ils roulent tous comme des décalcos. 120 en villes, pas de ceintures, pas de clignotants, klaxonne à bal, feu rouge quand ils veulent et surtout l’hymne national de la Roumanie à fond dans les caisses : la techno bien sûr !

Heureusement on tombe sur un étudiant roumain trop sympa, il nous emmène jusqu’à nôtre résidence P19 (que les Erasmus) et ils nous gèrent les chambres avec le concierge qui parle que roumain (on prend son n° pour une prochaine fois). Et là pas de piaules réserver pour nous, tant pi on dormira à trois dans une chambre de 2 parce que certains « con »patriotes voulaient pas nous accueillir. Après une bonne journée de marche on ne va pas se plaindre !

Une fois le pb des chambres réglé pour ns, on accueil la 2éme fournée de Nantes le lendemain soir vers minuit. Pas de chambre pour eux non plus donc mode roumain activé : 5 ds une chambre.

mercredi 26 septembre 2007

Le prélude

Après une hésitation de quelques semaines où savoir faire mon master 2 (l’ultime année), mes collègues m’ont finalement engrainés avec eux pour partir en Roumanie. Commence le début des « paprasses » avec notre école d’Angers, les Relations Internationales, l’école Polihnica de Bucharesti … Une fois le processus (Qualité) lancé, une question revenait sans cesse, la question classique (et relou a force) que tout le monde te pose c’est : « mais pourquoi tu part en Roumanie ? ».

La réponse est qu’il me reste plus qu’un d’étude (ba j’espère) et que partir à l’étranger voir autre chose, d’autres gens et taper un bon délire avec les potos ça motive.

Je connaissais pas grand choses sur la Roumanie, juste ce qu’on entend c’est-à-dire un pays pauvre qui sort du communiste, Ceausescu, les roms (pas les roumains, les « manouchkas » vulgairement), la Logan et les filles de l’Est. On a eu du mal à trouver des infos fiables sur toutes les interrogations qu’on avait. Bref on verra bien.

La composition de l’équipe de départ:

En défense Alex a.k.a « Madinina », devant la paire de Mat : Mathieu alias « Haiduk » et Matthieu surnommé « Moket », au milieu le n°10 moi, David dit « Miclik ». C’est pour la partie de mon école. Et un transfert de Toulouse en tant que goal, Florian alias « rien » (pour l’instant).

Moi, Moket, Alex et Mathieu

Florian